Les fondemants de la violence
Les micros-cours conceptuels:
Agression, agressivité, violence
Le 10 lignes
Les théories de la violence sont marquées par des idéologies originaires , que l’on peut schématiser en évoquant en symétrie Hobbes ( l’homme est un loup pour l’homme ) et Rousseau ( l’homme est naturellement bon ). Le choix Hobbes nous entraîne du côté du radicalisme innéiste, instinctuel, le choix Rousseau nous entraîne du côté du relativisme conjoncturel, des circonstances. Nous sommes renvoyés au vieux débat : ou l’homme est inscrit dans la violence, soit par ses gênes, ses origines, sa structure anthropologique, ou l’homme est contaminé par la violence de la société, de son milieu, de ses origines primitives. Il y a dès lors une fermeture symétrique, entre une conception de la violence comme fondamentalement humaine, et nous approchons le fondamentalisme, et une conception de la violence comme accidentelle, acquise. C’est la fatlité contre l’éducation. Postulons alors pour srtir du binaire une dimension relationnelle et culturelle de la violence «indexée» par l’histoire humaine.
Les modalités de l’atteinte de l’autre :
de l’agression à la violence
comme pathologie de l’agressivité